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Iris Mittenaere mise sur la discrétion pour ses relations à venir


Alors qu’elle ouvre un nouveau chapitre de sa vie, l’ex-Miss France, qui a souffert de la surexposition de son couple avec Diego El Glaoui, a tiré les leçons du passé


Quand on est amoureux, on a parfois envie de le crier sous les toits. Mais tout ça, pour Iris Mittenaere, c’est fini. La Miss France 2016 et Diego El Glaoui étaient allés jusqu’à mettre en scène leur couple puisqu’ils étaient au cœur de la docu-série Influence (s) sur l’agence de talents menée par son ex-compagnon.


Dès lors, les couacs de leur vie privée étaient étudiés à la loupe. On se souvient notamment de cette sortie qui avait scandalisé les téléspectateurs et internautes, dans laquelle l’homme d’affaires s’en prenait vertement à l’ex-miss Univers.


Des moments que l’on préfère généralement ne pas voir étalés au grand jour. Alors suite à la séparation du couple, après des fiançailles et « quatre ans d’amour », à 31 ans, Iris Mittenaere, a quelques craintes pour ses relations à venir. Elle aurait en effet retrouvé l’amour , avec un certain Bruno, 22 ans, héritier d’un magnat de l’immobilier, mais on ne l’y reprendra plus.


« Pas de bonne option »


La jeune femme a confié à Ciné Télé Revue son désarroi actuel quant à la bonne attitude à adopter vis-à-vis des médias. « Il n’y a pas de bonne option. Dans tous les cas, c’est le revers de la célébrité », confie-t-elle.


Selon l’influenceuse, « quand vous ne dévoilez pas suffisamment, vous avez les paparazzi au pied de votre immeuble et ça peut être très lourd à vivre. Et d’un autre côté, quand on s’ouvre trop, on a l’impression de devoir donner toujours plus ».


Ayant probablement le sentiment d’avoir donné un peu trop, c’est l’option de la discrétion qui est à présent de mise. Celle qui présentera ce vendredi 12 juillet sur TF1 Ninja Warrior, le choc des nations avec Denis Brogniart et Christophe Beaugrand a toutefois confié ne rien regretter.


« La vie que je mène est tellement magnifique. Partager certaines choses avec sa communauté, ça vaut le coup malgré tout », constate-t-elle.


Car de son propre aveu, « si je suis là, c’est que j’en ai envie aussi. J’aime bien rencontrer les gens, ça me fait plaisir de les croiser. Ça ne me dérange pas du tout, bien au contraire. C’est davantage les paparazzi qui me suivent partout qui m’embêtent. »

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