L’animateur a rendu hommage à sa « petite sœur de cœur » la cavalière Thaïs Meheust décédée et dont la monture a été médaillée aux JO 2024
Julien Courbet a rendu hommage à la cavalière Thaïs Meheust dont la monture a remporté la médaille d’argent lundi 29 juillet au concours complet d’équitation à Versailles .
La jeune femme de 22 ans a perdu la vie dans une chute fatale lors de l’épreuve de cross au haras du Pin, dans l’Orne, le 7 septembre 2019.
La jeune sportive disait à propos de son cheval , Chaman Dumontceau, qu’il avait le potentiel de participer à des épreuves olympiques et la médaille d’argent glanée par sa monture, en duo avec le cavalier Stéphane Landois , ne peut que lui rendre justice.
L’animateur, qui connaissait bien Thaïs Meheust, a rendu hommage à sa « petite sœur de cœur » sur Instagram en postant une photo où tous les deux apparaissent en train de tirer la langue.
« Thaïs ma petite sœur de cœur, tu as gagné, tu le savais que ton chaman aurait la médaille, tu l’as programmé pour gagner et tu as sublimé ton coach Stéphane qui l’a monté à ta place. Tu es une étoile médaillée maintenant ! », a-t-il partagé.
Hommage en argent
Invité sur le plateau de Quels Jeux ! sur France 2, Stéphane Landois, qui était proche de Thaïs Meheust, a expliqué avoir récupéré la monture de son ancienne amie à la demande de ses parents.
Présente également dans l’émission, Corinne Meheust, la mère de Thaïs Meheust, a tenu à remercier le cavalier pour le travail accompli avec le cheval afin qu’il puisse concourir lors des Jeux olympiques.
« Il n’y a pas d’intervention divine, tout ce que ce cheval est devenu, c’est Stéphane qui l’a construit, donc on est extrêmement reconnaissant de nous permettre de vivre ça », a-t-elle affirmé.
Au bord des larmes, la mère a ajouté : « Pour la première fois depuis 5 ans, on a vibré d’émotions positives. C’est terrible parce que je pouvais presque me sentir coupable de penser ça mais on a été heureux. »
Bouleversé, le fraîchement médaillé d’argent était visiblement « très ému » de la réaction de Corinne Meheust.
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